Des gens aux noms de famille non peuls, mais qui ne parlent aucune autre langue que le peul aurait été victimes de violences et forcés de quitter la ville, à Pita. Où ces gens pourraient-ils aller, n’ayant aucune autre ville d’origine? Ce qui rend cette histoire encore plus triste, c’est que certains des auteurs des violences ont été victimes à Siguiri ou ailleurs en Haute Guinée. C’est le nettoyage ethnique qui se poursuit. A cette allure vers où se dirige le pays?
Une des villas de mon cousin Ousmane Bah aurait été saccagée, l’autre demi-détruite. Un de nos cousins communs qui lui ressemble a dû se cacher chez mon frère Bah Mamadou Lamine du Lynx.
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