Le Conseil économique, social et environnemental (Céser) vient de révéler les retombées économiques de la présence européenne dans cette ville du Nord-est de la France. Dans un article de Yolande Baldeweck publié sur lalsace.fr:
Il y a eu des débats nourris entre ceux qui voulaient insister, en premier, sur le rôle du Parlement européen – comme les représentants de la CFDT qui avaient maintenu un amendement dans ce sens, qui a été rejeté – et ceux, à l’instar du dirigeant agricole Jean-Paul Bastian, pour qui « Strasbourg doit jouer l’ensemble des institutions » qui génèrent plus de 10 000 emplois sur le bassin Strasbourg-Kehl et « donner toute sa place au Conseil de l’Europe », qui compte plus de 2 000 agents. Sa présence induit celle de 70 consulats, ambassades et représentations diplomatiques. Alors qu’en dehors des sessions mensuelles du Parlement européen, seules 150 personnes travaillent en permanence à Strasbourg…